Livre se déroulant à Montréal, Canada. Critique écrite le 2019/006: https://www.instagram.com/p/BzTusUwgRNS/
Je suis convaincu que nôtre identité s’est construit dans un dialogue infini entre celle qu’on croît et désire être et cet image que les autres attendent ou exigent de nous. Un dialogue qui peut très rapidement tourner en cauchemar, en guerre, en monologue imposé. L’histoire de #michelleblanc me rappelle celles de Jan Morris ou Anastasia Thomson et tant d’autres que j’ai eu l’opportunité de découvrir pendant ces deux mois de #genderqueerlit . Devenir femme pour elles ce n’est pas un acte de courage, mais plutôt un acte de #survie . Par leurs actes, elles choisissent la vie, la joie d’être telles qu’elles ont toujours eu envie d’être. Au même temps, leurs parcours deviennent aussi un example et une histoire que les gens souhaitent connaître, décortiquer et même s’identifier avec. Et là ça devient très difficile à assumer. Leurs histoires personnelles deviennent soit une aberration abjecte pour certains ou bien un chemin idéalisé à suivre pour les autres. Mais qu’est-ce qu’on fait là dedans avec nos rêves, nos désirs, nos amours, notre vie à nous? Tout ça pour vous dire que j’ai beaucoup aimé le récit #biographique très humain et détaillé que #jacqueslanctôt nous dresse chez #michelleblancungenreapart . J’aurai quand même espérer entendre #blancelle-même parler encore davantage. Comme elle le fait dans son #blog et dans les émissions auxquelles elle est régulièrement invitée, je m’attendais à l’écouter dans ses propres mots et sans aucun filtre. Si j’étais Blanc, j’aurais publié mon propre blog #femme 2.0 dans un livre et le concevoir comme une #mémoire à la fois de sa transition mais aussi ses pensées pendant ce temps-là. #montréal #montreal #libreexpression#canlit #mytranscanadaweek#littératurequébécoise#canadianliterature#michelleblancungenreàpart#transgenre #blogeuse
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