Livre se déroulant à Reykjavík, Islande. Critique écrite le 2019/12: https://www.instagram.com/p/B55YsdPAVON/
#missislande de #AuðurAvaÓlafsdóttir semble avoir un message direct sur la discrimination vécue par les #femmes et les #homosexuelles dans l’ #islande des années 1960. Par contre, j’ai cru apercevoir au-delà des circonstances, un désir de montrer à quel point nos relations (père-fille, fille-mère, hétéro-homo, ami-amie, meilleure amie-amie, petite amie-copain, etc.) sont toutes prisionnières de nos attentes envers l’autre. Tous les personnages sont enfermés dans une logique similaire. Ils attendent, ils espèrent tous quelque chose de l’autre, même s’ils ne le dissent pas à haute voix et ils décident de ne pas l’avouer à personne. Le grand problème c’est que l’autre, elle ou lui aussi se sent de la même manière. Donc leurs attentes n’aboutissent à rien et à un moment donné ils pensent avoir échoué leurs vies et se sentent mal compris. Les sentiments d’avoir échoué et se sentir #malcompris ne peuvent donner place qu’à une chose: l’éruption du #volcan . J’aurais bien aimé que le récit aurait été plus porté vers le côté #éruptionque sur toutes ses relations dont je vous ai parlé. Voilà ma petite critique plutôt négatif envers le livre. J’ai beaucoup aimé la première et troisième parties du livre car c’est là où #auduravaolafsdottir nous montre la visage du volcan en éruption. Qu’est-ce qui passent lorsque les gens osent rêver, vivre et s’imaginer autrement? Dans l’Islande des annés 1960 comme dans notre monde d’aujourd’hui, les gens ont peur de ceux qui osent vivre leurs rêves, leurs vies à vive voix et ils essayent de leur faire peur, de leur faire taire. J’aurais préféré que #Ólafsdóttir nous explique à quel point nos volcans ne peuvent jamais être apprivoiser malgré la haine et la jalousie d’autrui. #suggere #éditionszulma #dalir#copenhagen #Reykjavík#littératureislandaise #olafsdottir#zulma #reykjavik #séchapper
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